“Martynov has a more romantic sensibility, stripping the First Symphony of its post-Haydn classicism. It’s ironic, given his background in early music and continuo performance, but Martynov takes many a creative liberty...The Seventh is a reading that would enrich any collection.”
I salute the whole achievement as an astonishing, musically enlightening and historically absorbing must-listen. Recommended.
Blijf verwonderd!
Cyprien Katsaris (bij Teldec) en Leslie Howard (Hyperion) namen alle Liszt-bewerkingen al eerder op; zij lijken hier voorgoed overklast door deze Yury Martynov.
Op het einde van het eerste deel lijkt het klavier het zelfs helemaal te begeven: al bij toch al een adembenemend effect!
Accompagné d’Alexei Lubimov ou seul, Yury Martynov interprète au pianoforte des œuvres de Mozart et de Beethoven d’une virtuosité étourdissante et fulgurante.
On a d'abord retrouvé Yury Martynov pour un second volet d'une intégrale des Symphonies de Beethoven arrangées au piano par Liszt et joué sur un miraculeux Erard de 1937 de la collection d'Edwin Beunk. L'instrument est une merveille de finesse et de puissance, deux qualités rarement conciliables pour des claviers de cette époque. On le sent pourtant à la limite de la rupture tellement le jeu de Martynov est dynamique et physique. Heureusement, la qualité du son a été préservée, le pianoforte étant capté à une distance idéale. Voilà donc un Beethoven granitique, plus organique encore que dans le précédent volume. Les basses rugissantes, rauques, la clarté d'un médium renversant, le son cristallin et jamais acide des aigus : c'est la perfection. Quant à l'interprétation, d'une inflexibilité rythmique sidérante, elle est à couper le souffle. Elle s'accompagne d'un étonnant mélange de sauvagerie et de mystère. Vivement la suite ! En l'attendant, on retrouve l'énergie foudroyante de Yury Martynov qui, avec l'aide d'Alexei Lubimov, nous cloue à notre fauteuil dans des œuvres pour deux pianofortes de Mozart, et cela dès l'Allegro con spirito de la Sonate en ré majeur. Alors, bien sûr, cela a quelques menues conséquences sur la précision d'ensemble dans les gammes ; mais qu'importe : c'est tout simplement jouissif.
Surtout, l'intérêt de cette interprétation ne s'arrête pas là : en ne cherchant pas vainement une homogénéité sonore, les deux pianofortistes revendiquent et se jouent de leurs deux timbres d'instruments bien distincts et transforment bon nombre de passages du mouvement lent en véritables duos d'amour. D'autant que, dotés d'instruments bien séduisants, ils usent d'effets sonores qui surprennent régulièrement. Personnels sans être maniéristes, Alexei Lubimov et Yuri Martynov recréent tout à la fois l'immense plaisir de la musique de chambre partagée et la puissance de l'orchestre, en des duos tantôt intimistes, tantôt fulgurants. C'est incontestablement l'une des plus belles réussites au disque avec Perahia/Lupu (Sony) et Thal/Groethuysen (Sony), toutefois beaucoup plus policés. Et disons-le tout net : ce Mozart-ci nous plaît ! Après ce véritable choc, les autres pièces du disque surprennent légèrement moins. Elles nous réservent tout de même de très beaux moments de musique, dans lesquels les deux pianofortistes prennent " audiblement " un très grand plaisir à nous faire partager leur bonheur de jouer ensemble. La qualité du duo se hisse à des hauteurs que l'on souhaiterait entendre plus souvent, dans Mozart et ailleurs. Merci Messieurs.
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